Les sports des Jeux olympiques d’hiver de PyeongChang 2018 ne sont pas tous basés sur la vitesse. Pour ceux qui le sont, les vitesses vont de 11 m.p.h. – ce serait le curling – à des vitesses qui seraient considérées comme une conduite imprudente.
Pour mettre en perspective quelques-uns de ces sports olympiques axés sur la vitesse, nous avons décidé de faire courir leurs athlètes contre un léopard des neiges. (Nous avons choisi le léopard des neiges parce que ce grand félin, une espèce vulnérable originaire d’Asie centrale et d’Asie du Sud, mais pas de Corée du Sud, pourrait se sentir chez lui sur les pentes glacées des parcours des Jeux olympiques d’hiver). Les léopards des neiges peuvent sprinter entre 35 et 40 m.p.h. – nous avons fait la moyenne de cette fourchette et arrondi à 38.
Pour ce qui est de la vitesse à laquelle les différents olympiens peuvent aller dans leurs sports, les chiffres sont tous azimuts. La source la plus complète semble être la comptabilité du Washington Post basée sur une variété d’autorités de sports d’hiver, y compris la Fédération mondiale de curling. Il suffit de cliquer ou d’appuyer sur « Go » pour voir quels athlètes peuvent battre cette élégante Panthère dans un face à face.
(Le curling n’a pas été inclus par égard pour le temps du lecteur, car il faudrait environ 18 secondes au pauvre curleur pour traverser l’écran.)
Bien sûr, les léopards des neiges sont loin d’être les créatures les plus rapides qui parcourent la terre, le ciel et la mer. Ou même le grand félin le plus rapide. Les guépards ont été chronométrés à 61 m.p.h., la vitesse moyenne précise que la championne de ski américaine Lindsey Vonn a atteinte lors de la Coupe du monde 2016. Pendant ce temps, le faucon pèlerin – que l’on trouve en Corée du Sud – peut atteindre 200 m.p.h. en piqué, selon le Conservation Institute. Heureusement pour Vonn et ses collègues olympiques américains, aucun de ces animaux ne sait skier.
Écrire à Chris Wilson à l’adresse [email protected].